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Le Maroc confirme le premier cas de l'épidémie actuelle

Le Maroc a confirmé un cas de mpox chez un homme dans la ville de Marrakech, a indiqué le ministère de la Santé.

Il s’agit de la première découverte de ce type depuis que l’épidémie actuelle a été déclarée urgence de santé publique de portée internationale par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le mois dernier.

Cette mesure a été prise en réponse à la propagation rapide d'une nouvelle variante, ou clade, du virus en Afrique centrale. Les autorités marocaines n'ont pas précisé de quelle variante il s'agissait.

Le ministère de la Santé a déclaré qu'il recevait un traitement et qu'il était dans un état stable.

Les autorités marocaines suivent et surveillent l'état de santé de toutes les personnes avec lesquelles l'homme a été en contact. Aucune d'entre elles ne présente de symptômes, précise le communiqué publié jeudi après-midi.

Le Mpox peut se propager par contact étroit avec une personne infectée.

La maladie peut également se propager par contact avec des objets contaminés par le virus, comme la literie, les vêtements et les serviettes.

L’infection peut disparaître d’elle-même et dure entre 14 et 21 jours.

Mais dans certains cas, elle est mortelle, en particulier pour les groupes vulnérables, notamment les jeunes enfants.

Dans les cas graves, les lésions peuvent attaquer l'ensemble du corps, en particulier la bouche, les yeux et les organes génitaux.

Le traitement consiste à prendre soin de l’éruption cutanée, à aider à gérer la douleur et à prévenir les complications, indique l’OMS.

En 2024, plus de 20 000 cas et 500 décès ont été recensés dans 14 pays africains. La République démocratique du Congo est au cœur de l’épidémie avec plus de 5 000 cas cette année.

Les vaccins, considérés comme une mesure essentielle pour prévenir la propagation, sont arrivés en RDC, mais en raison de défis logistiques, il faudra peut-être plusieurs semaines avant qu'ils n'arrivent dans les zones les plus touchées de l'est du pays.

En déclarant l'épidémie comme une urgence de santé publique le 14 août, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu'il était « clair qu'une réponse internationale coordonnée est nécessaire pour arrêter ces épidémies et sauver des vies ».

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